• Mettons fin aux violences dans les abattoirs : pour un contrôle strict et le respect animal
    Stop aux violences dans les abattoirs : pour une surveillance stricte et une justice pour les animaux ! Chaque année, des millions d'animaux sont tués dans les abattoirs. Mais au-delà de la mise à mort, ce sont les conditions inhumaines, les coups, les cris, et les souffrances inutiles qui choquent. Des vidéos d’enquêtes récentes montrent des actes de cruauté intolérables, bien loin de ce que la loi autorise. Trop souvent, ces violences restent impunies, car elles sont invisibles. Nous sommes trois jeunes engagés pour la cause animale. Comme des milliers de citoyens, nous ne supportons plus de fermer les yeux sur cette réalité. Nous croyons qu’un monde plus juste commence par le respect des plus vulnérables, y compris les animaux. Nous voulons que la souffrance ne soit jamais le prix du silence. Ce que nous demandons est simple : la mise en place de caméras de surveillance obligatoires dans tous les abattoirs, un accès facilité aux inspections indépendantes, et des sanctions claires pour chaque acte de maltraitance. Ces mesures ont déjà porté leurs fruits dans d'autres pays : elles réduisent les abus et responsabilisent les acteurs du secteur. Chaque jour compte. Tant que rien ne change, des milliers d’animaux continuent de souffrir en silence. Plus nous attendons, plus l’impunité règne. Il est temps d’agir, pour eux. Signez cette pétition pour exiger la fin des violences dans les abattoirs. Ensemble, faisons entendre leur douleur et notre volonté de justice
    8 sur 100 Signatures
    Créée par Margaux D.
  • SAUVONS LES ARBRES MENACES D’ABATTAGE A PROVINS !
    Aujourd’hui, nous continuons à nous opposer à la réalisation de la 2ème phase du projet, avec 3 objectifs précis : OBJECTIF N°1 : Urgence pour les frênes du Boulevard d’Aligre! Jusqu’au 15 août, 32 frênes sont en sursis, menacés d’abattage alors que leur état ne le justifie pas. Il est donc important d’agir immédiatement et avant les vacances d’été. Nous demandons à la Mairie de Provins de reporter ces abattages jusqu’à ce qu’une étude de l’état phytosanitaire et mécanique des arbres concernés ait été menée par un expert INDÉPENDANT de la mairie, expert qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des abattages qui s’avéreraient indispensables. OBJECTIF N°2 : Suppression du “plan de renouvellement” des arbres Les documents que nous avons pu obtenir par recours gracieux auprès de M. le Préfet de Seine-et-Marne évoquent un “plan de renouvellement” des arbres, qui est en fait un plan d’abattage. Il prévoit l’abattage de 44 autres arbres de la promenade dans un délai qui peut aller de 5 ans (4 ans désormais) à 10 ans, sans que l’échéance précise puisse être connue. Les 254 arbres restants, parmi les plus anciens de la promenade, semblent maintenus pendant dix ans avant leur “renouvellement”. Le plan de la mairie vise donc un total de 367 arbres depuis 2024 dont la majeure partie sont des arbres centenaires. Rappelons que l’on connaît aujourd’hui la valeur des arbres anciens, tout ce qu’ils apportent à notre santé, combien ils sont importants pour le stockage du carbone, et quel rôle ils jouent dans le maintien de la biodiversité. Il ne peut plus être question de “gérer” un espace arboré en planifiant le remplacement régulier des plus vieux par de jeunes plants, avec l’espoir de garder toujours un “parc” de jeunes arbres. D’autant plus que le taux de mortalité des arbres plantés en 2024 (blessures causées par le chantier, survie aléatoire en raison du changement climatique) accentuera le “déboisement” de la Promenade. Cette vision désormais dépassée, qui s’apparente à un consumérisme public, est délétère pour le vivant en général et dangereuse pour l’environnement. Aussi nous demandons à la Mairie de Provins de supprimer son plan d’abattage et de faire procéder à une surveillance des arbres par un expert indépendant de la Mairie, qui ne sera chargé ni directement ni indirectement des travaux d’abattage qui pourraient s’avérer nécessaires pour la sécurité du public. Cette surveillance permettrait d’engager une gestion au cas par cas plus adaptée à l’évolution naturelle et imprévisible des plantations.  OBJECTIF N°3 : Moratoire sur les travaux d’extension de la Promenade jusqu’en Ville haute Les travaux déjà réalisés ont abouti à une artificialisation du sol de la promenade et d’une partie des berges de la Fausse Rivière (pose d’un enrobé, construction de gradins en béton et remodelage de la berge au prix de l’éviction de la biodiversité qu’elle recélait). Le projet d’extension de la “requalification” de la promenade jusqu’en ville haute ne fera que prolonger cette artificialisation. L’objectif affiché est de permettre des “liaisons douces” par le biais de la “voie verte”. Mais ces liaisons douces existent depuis longtemps puisque la promenade est utilisée en l’état par les cyclistes. Quant au début de cette seconde tranche des travaux, nous n’avons pas d’information. Il est possible qu’elle suive immédiatement la réalisation de la 1ère tranche (fin 2025 ou début 2026). Une réfection du sol peut être envisagée pour rendre la promenade plus praticable, mais il existe des solutions plus naturelles - et d’ailleurs moins coûteuses - que l’enrobé. Quant à la “requalification” complète de la promenade sur toute son étendue, il paraît indispensable que les habitant(e)s soient associés au processus de décision, dans la mesure où il s’agit de lieux qui leur sont chers et qui font partie de leur patrimoine culturel et naturel. Dès lors, nous demandons à la mairie de Provins de suspendre tous travaux et toutes préparations de travaux visant la promenade jusqu’à une information complète et contradictoire suivie d’une consultation des Provinois(es).  Notre promenade, nos arbres, nos berges, ont déjà suffisamment souffert de ce projet daté et inutile. Il est temps que les autorités écoutent ce que disent les principaux intéressés.  Nous soutenir dès maintenant par votre signature, c’est nous permettre d’anticiper. Forts de votre appui, nous pourrons faire entendre notre voix avant les prochaines échéances. C’est aussi nous permettre de sensibiliser à cette cause, par l’effet du nombre, des publics nouveaux.  Avec vous, nous pouvons encore sauver nos arbres centenaires et une promenade pleine de charme qui donne asile à de nombreuses espèces protégées.
    20 sur 100 Signatures
    Créée par Association Provins Nature et Avenir (APNA)
  • Pour une autre économie : Renforçons le règlement de publicité dans le Grand Besançon Métropole
    🧠 Une pollution mentale trop souvent sous-estimée La publicité fabrique des désirs, dicte des normes, rend enviable un mode de vie basé sur la surconsommation et les apparences. Elle nous éloigne de la sobriété, de la simplicité choisie, elle biaise nos idéaux (1). Comment éduquer nos enfants aux mécanismes trompeurs de la publicité, alors qu’ils y sont exposés dès le plus jeune âge, parfois avant même de savoir parler ? Comment leur faire comprendre que la respectabilité d’une femme ne se mesure pas à son physique et celle d’un homme à sa voiture ? Comment, même en tant qu’adultes, pouvons-nous résister aux injonctions contradictoires qui nous crient en gros caractères de consommer toujours plus et murmurent en petit  « à consommer avec modération » ? 💰 Une économie qui fragilise plus qu’elle ne soutient Réduire la place de la publicité dans l’espace public n’est pas nuire à l’économie. C’est en questionner les effets réels. La publicité agit de trois manières : • elle pousse à produire et vendre toujours plus, au mépris des limites planétaires et de la santé des vivants, humains compris (1) . Cette logique a des répercussions négatives sur les finances des services publics (2) (3) ; • elle oriente l’attention – donc les achats – vers les marques les plus visibles, au détriment des commerces de proximité et des initiatives locales, moins dotées, mais plus vertueuses (4) ; • elle augmente les prix des produits, et donc alourdit les dépenses des ménages, pour soutenir son modèle économique (2). Dans tous les cas, elle renforce les inégalités et rend notre économie dépendante d’un modèle insoutenable. Donner moins d’espace à la publicité, c’est favoriser une économie plus enracinée, plus résiliente, plus diversifiée. Nous ne voulons pas d’une économie des « fleurons » qui brillent en façade, mais d’une économie des chardons : robuste, modeste, ancrée dans les réalités du territoire. 🌿 Une écologie des liens L’écologie, au fond, c’est l’étude des interfaces dans les écosystèmes. L’étude des liens entre les humains et ce qui les entoure, entre les adultes et les enfants, entre les genres, entre les territoires et leurs acteurs économiques. Restreindre la publicité dans l’espace public, c’est protéger ces liens contre les récits toxiques, contre les injonctions qui formatent, divisent, stigmatisent. Le modèle actuel de la publicité est aveugle à ses effets délétères. Puisque nous n’avons ni la possibilité de choisir les messages qu’elle diffuse, ni celle d’influer sur comment les messagers la propagent, nous demandons qu’il y ait tout simplement moins de publicité. 👀 Le regard piégé, des paysages défigurés L'envahissement de nos rues par la publicité crée des nuisances visuelles, qui dégradent le cadre de vie. Les panneaux ferment les perspectives et masquent les paysages. Ils captent les regards, retiennent l'attention, au détriment des panoramas sur l'environnement et le patrimoine. ✊ Pour un espace public libéré, pour une société plus saine L’espace public est notre bien commun. Il doit servir à éduquer, à relier, à respirer, à vivre bien – pas à vendre. Il est temps que la métropole du Grand Besançon fasse un choix courageux : celui d’une société qui mise sur la conscience plutôt que sur la consommation, sur le lien plutôt que sur les biens. D’autres métropoles comme celles de Lyon, de Grenoble ou de Rennes ont déjà renforcé leur règlement. A nous de leur emboîter le pas. Dans la continuité de nos actions, nous appelons également les député.es élu.es sur notre territoire, Mme Voynet et M. Croizier, à porter notre voix au Parlement. Nous leur demandons de soutenir toute initiative visant à réduire la publicité, comme cela avait été proposé – puis retiré – dans le projet de Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat afin de « Réduire efficacement l’exposition des enfants et des adolescents aux publicités et parrainages pour des produits trop gras, sucrés, salés, sur les différents médias (traditionnels et numériques) par un renforcement à terme du cadre réglementaire » (5) , projet qui sera bientôt débattu à l’Assemblée Nationale. (1)Didier Courbet. The economic unconscious and non-conscious influences of advertising. Deleterious effects on freedom, happiness, and health?. In Analysis, 2024, 8 (3), pp.1-11. ⟨10.1016/j.inan.2024.100464⟩. ⟨hal-04790512⟩ (2) Institut Veblen & Communication et Démocratie. (2021). Publicité et consommation : pour une régulation au service de la transition écologique. Rapport complet. (3) Sénat. Mmes Élisabeth DOINEAU, rapporteure générale, et Cathy APOURCEAU-POLY (2023). Rapport r23-638. https://www.senat.fr/rap/r23-638/r23-6381.pdf (4) INSPECTION GÉNÉRALE DES FINANCES, IGED, IGAC. (2024). Contribution et régulation de la publicité pour une consommation plus durable : https://communicationdemocratie.osuny.org/media/download/eyJfcmFpbHMiOnsiZGF0YSI6IjIzMGJkOGE5LWUzNjYtNDAwYy04ZmMwLTNkMjQ5YWMwZjUwOCIsInB1ciI6ImJsb2JfaWQifX0=--be632b5c019569fc03ddf2a35d8457acaae75761 (5) Réseau Action Climat. (2025). Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat : l’appel des associations environnementales et de santé : https://reseauactionclimat.org/strategie-nationale-pour-lalimentation-la-nutrition-et-le-climat-lappel-des-associations-environnementales-et-de-sante/ 
    211 sur 300 Signatures
    Créée par Alternatiba ANV-COP21 Besançon ..
  • Non au Surf Park à Talmont Saint-Hilaire.
    PÉTITION CITOYENNE  Non à la méga-piscine de surf à Talmont-Saint Hilaire  à Mesdames Cécilia Segarra et Mary-Lou Laurent qui portent le projet de la société «Les Frangines», à Madame Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint Hilaire, à Madame Annick Billon, sénatrice de Vendée, à Madame Béatrice Bellamy, députée de la circonscription Roche Sud, à Monsieur Alain Lebœuf, président du Conseil départemental, à Madame Christelle Morançais, présidente du Conseil régional des Pays de la Loire, à Monsieur Fabrice Rigoulet-Roze, préfet de Région Pays de la Loire, à Monsieur Gérard Gavory, préfet de la Vendée. Le promoteur (Société Les Frangines) projette la création d'un complexe sportif avec une méga-piscine à vagues pour surfeurs à Talmont-Saint Hilaire, commune voisine des Sables d'Olonne. Le site est à 250 m de l'océan et très proche de spots de surf reconnus.  Nous, collectif ACdevagues à Talmont et les citoyens pétitionnaires, - nous refusons l'artificialisation ou imperméabilisation de 7380 m² pour la construction d'une piscine à vagues de surf de technologie Wavegarden Cove complétée d'espaces commerciaux et de restauration en plus de la surface déjà occupée par l'aquarium. Cet ensemble jouxte une zone Natura 2000 qui risque d'être mise en danger par le bruit et les vibrations des pompes et moteurs (capables de générer de 300 à 600 vagues par heure), la fréquentation importante, l'organisation d'évènements et la circulation routière augmentée. Ce complexe utilisera de l'eau de mer dessalée sans que soient précisés le volume d'eau concerné ni la technique utilisée (opération énergivore et créatrice de déchets). En cas de fuite des bassins, il y a un risque de salinisation des sols du bois de La Mine situé en aval du projet Le permis de construire présente beaucoup d'approximations (traitement des eaux : présence de désinfectants ou pas, volume de pompage existant insuffisant, évacuations des vidanges et trop pleins dues aux fortes pluies inexistantes, consommation énergétique, présence d'une fosse de plongée de 40 m de profondeur, évaluation des incidences Natura 2000 ignorée pourtant obligatoire pour garantir la préservation de la biodiversité de ces zones protégées …) - nous refusons ce projet Illégitime et indécent moralement, socialement et écologiquement, au regard des détériorations climatiques et de l'atteinte à la biodiversité. Les scientifiques du monde entier le martèlent : il faut diminuer fortement notre pression sur l'environnement et donc s'interdire tout nouveau projet non-essentiel qui émet des gaz à effet de serre, consomme de l'eau et de l'énergie en grande quantité et bétonne la Terre. - nous refusons ce projet aberrant et anachronique à l'heure où l'urgence climatique, la préservation des ressources et de la biodiversité sont au centre des préoccupations mondiales. Notre futur dépend des décisions prises localement ici et aujourd'hui. Que dire de la présence d'un tel parc d'attraction à quelques minutes d'un site appelé à devenir « Grand site de France » ? La communauté de communes Vendée Grand Littoral a par ailleurs mis en place un Plan Climat Air Énergie Territorial dont l'objectif 5.1 est de «limiter l'artificialisation des sols sur le long terme, dans une logique d'économie circulaire et de solidarité territoriale». Alors, faut-il accepter ce projet inutile, non essentiel et énergivore qui risque d'accentuer une surpopulation déjà existante ? Tout ça à 250 m de l'océan, sans aucune étude environnementale sérieuse… Au vu de ces constats, nous demandons à Monsieur Maxence de Rugy, maire de Talmont-Saint-Hilaire et président de la Communauté de communes, d’agir auprès de la société « Les Frangines" pour qu’elle renonce à leur projet de surf park.  Par ma signature, moi aussi je dis non à la méga-piscine à vagues de Talmont Saint Hilaire.  Pour continuer à être informé Facebook et Instagram : ACdevagues Talmont Saint Hilaire.  Par mail : [email protected]
    2 212 sur 3 000 Signatures
    Créée par AC de vagues à Talmont C.
  • Pour des conditions d’apprentissage dignes à l’école à Lyon
    Une école inadaptée : un frein à l’apprentissage Les vagues de froid, les périodes de canicule prolongées et les températures extrêmes affectent la concentration des élèves et rendent les conditions de travail des enseignant·es et du personnel des écoles plus difficiles. Ces situations extrêmement difficiles en été à cause du manque d'adaptation et d'isolation du bâti vont s'aggraver avec les conséquences du réchauffement climatiques Un gaspillage énergétique évitable Alors que notre école est encore chauffée au gaz ou au fioul, une énergie fossile très émettrice de gaz à effet de serre, il y a aussi une surconsommation énergétique, liée à une mauvaise isolation et à des équipements vieillissants, ce qui alourdit inutilement la facture de notre commune. Pourtant, des solutions existent : une rénovation énergétique de notre école permettrait de réduire drastiquement la consommation d’énergie, tout en améliorant le confort quotidien des élèves et du personnel éducatif. Nous demandons : De manière urgente :   • La mise à disposition publique du DPE • L'organisation d'un audit énergétique • Publier cet audit énergétique et de s’engager sur un plan d’action d’ici [date] • De trouver une solution d’urgence pour permettre la tenue des cours dans les cas de grand froid/grand chaud • autre  A plus long terme,  De faire de notre école un moteur de la transition écologique, au service du bien-être des élèves et du corps enseignant, et garants d’un avenir meilleur, avec par exemple la mise en place :  • d’une étude de faisabilité pour installer des panneaux solaires sur les toits du/des bâtiments de l’école  • d’un DPE A, B ou C • d’une cour végétalisée pour lutter contre les îlots de chaleur urbains Nous demandons à nos élus de prioriser la rénovation énergétique des écoles et d’y consacrer les moyens nécessaires. Ensemble, faisons de notre école un lieu exemplaire, à la fois respectueux de la planète et garant d’un avenir meilleur pour les générations futures. Signez cette pétition pour dénoncer la situation actuelle et soutenir la rénovation thermique de notre école !
    6 sur 100 Signatures
    Créée par Maelis L.
  • DEMANDE DE SUSPENSION DU CONTRAT OLYMPIQUE ALPES 2030
    Parce que le projet  JEUX OLYMPIQUES ET PARALYMPIQUES 2030 aura un très fort impact sur l’environnement, notamment sur les écosystèmes montagnards fragiles et encore fragilisés par le réchauffement climatique. Parce que, accentuant encore notre dépendance au tourisme lié à la neige, il accroît la vulnérabilité de l’économie montagnarde au réchauffement climatique. Parce qu’il est en totale contradiction avec notre constitution et des conventions internationales, les présidents des régions AURA et PACA et le CNOSF, porteurs du projet J.O.P. 2030 n’ayant à aucun moment respecté leurs obligations d’information et de consultation du public. Parce que les garanties financières exorbitantes exigées par le C.I.O. et les financements publics très conséquents qui vont être engagés par l’État et les régions AURA et PACA, doivent être débattues et validées par des représentantes et représentants du peuple souverain. Parce que l’aberration environnementale, le déni démocratique et la gabegie financière constitutifs du projet J.O.P. 2030 ne doivent pas, ne peuvent pas rester sans réponse ni action. Pour toutes ces raisons, nous, Collectif Citoyen JOP 2030, engagé(es) en faveur de  la  démocratie et de la transparence de la vie publique, allons déposer une « péti-motion » auprès du COJOP 2030, et de la région AURA, le 16 mai 2025 demandant la suspension du projet J.O.P. 2030 le temps que soit organisée une véritable consultation du public sur l’ensemble du projet. 
    4 403 sur 5 000 Signatures
    Créée par Collectif Citoyen JOP 2030 Picture
  • Aéroport de St Etienne - Loire : STOP au gaspillage d’argent public
    UN AEROPORT INUTILE DE TROP Cette année 2025, ce sera encore 1,2 millions d’€ injectés dans cet aéroport fantôme. Or, depuis 2017, aucune ligne régulière ne dessert l’aéroport. Et pour cause, l’aéroport international de Lyon St Exupéry (10,5 millions de passagers/an) n’est qu’à 90 km. Mais, pour les élus locaux, qu’importe les réalités socio-économiques, il en va de « l’image de marque » du territoire. UN PUITS SANS FOND Chaque année, des millions d’€ sont versés par le Département de la Loire, St-Etienne Métropole, Loire Forez Agglomération, CC Forez-Est et la CCI. Avec le désengagement de l’Etat, c’est plusieurs centaines de milliers d’€ qui vont alourdir davantage les charges de cet aéroport. DES FINANCEURS EN DIFFICULTES BUDGETAIRES Avec les difficultés financières du Département de la Loire (principal contributeur financier de l’aéroport) qui souhaite se recentrer sur ses compétences obligatoires, les administrateurs de l’aéroport en appellent désormais à la générosité de la Région Auvergne Rhône-Alpes pour alimenter ce tonneau des Danaïdes.  Demander à la Région qu’elle sauve cet aéroport fantôme est une provocation dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes. LA PRIORITE, C'EST LA MOBILITE DU QUOTIDIEN, PAS L'AVION Car en matière de mobilité, la priorité est toute autre pour les ligériens : tous les jours, 80 000 véhicules bouchonnent aux portes de St-Etienne sur l’A72, faute de transport en commun suffisamment calibré. La Région, responsable des mobilités, laisse se dégrader le train de banlieue forézien qui transporte 350 000 passagers/an avec son lot de retards, annulations, manque de places. Beaucoup préfèrent prendre la voiture dans des conditions de circulations difficiles plutôt que de prendre le risque d’utiliser le TER trop peu fiable.  La Région doit agir en faveur des salariés, lycéens et étudiants qui prennent le train et désirent simplement arriver à l’heure au travail ou en cours. La priorité n’est pas d’aider des footballeurs ou des excursionnistes à voyager avec plus de confort. POUR LA DEFENSE DES SERVICES PUBLICS LIGERIENS REELLEMENT NECESSAIRES Les subventions en faveur de l’aéroport doivent être réaffectées sur d’autres politiques publiques plus urgentes : - fiabiliser l’offre train TER entre le Forez et St Etienne (Région AURa)  - aider les maisons de retraites et les collèges en déficit (Département de la Loire) - accélérer le projet de Service Express Régional Métropolitain (St-Etienne Métropole) - intégrer un volet mobilité au Plan d’Urbanisme Intercommunal  (Forez-Est) - développer des pistes cyclables dans la centralité montbrisonnaise (LFA) POUR UNE MEILLEURE UTILISATION DE L'ARGENT PUBLIC À travers cette pétition, nous souhaitons ouvrir un débat sur l’usage des subventions publiques et la définition même du service public local. Nous déplorons que la séance de débat budgétaire du syndicat de l’aéroport soit prononcée à huis-clos pour empêcher le public d’assister aux échanges.  Signez cette pétition pour demander une gestion transparente et plus utile de l’argent public dans le Sud-Loire.  Non au gaspillage des fonds publics ligériens dans l’aéroport de St Etienne Loire.  Non à l’intervention financière de la Région pour sauver coûte que coûte cet aérogouffre.
    507 sur 600 Signatures
    Créée par Forez Agir Picture
  • Protégeons la nappe phréatique de Campbon
    La mise en place de cet entrepôt logistique est un non sens au vu de la trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre que la France se doit d'atteindre. La zone choisie pour cette implantation est  - loin des axes routiers (7km)  - à proximité immédiate d'un bourg (500m du pôle enfance, 300m d'un foyer d'accueil pour personnes agées) - sur un périmètre PROTEGE (arrêté préfectoral du 8 août 2000) de toute extension d'activité industrielle en raison de la présence de la nappe phréatique Cette nappe contribue à une alimentation en eau de qualité de l'ensemble du bassin nazairien ainsi que prochainement du sud Loire. Nous demandons l'annulation de l'autorisation d'exploitation de cette plateforme. Un recours gracieux a été envoyé au préfet début avril. Il a deux mois pour se prononcer. Mobilisons nous afin d'exiger des études d'impact : nous ne voulons pas d'un Bolloré Logistic ou d'un nouveau Lubrizol qui mettrait en danger la santé des riverains et de l'ensemble des habitants alimentés en eau potable.
    31 sur 100 Signatures
    Créée par ANTOINE G.
  • Rendez les subventions 80,000 € à FNE, LPO & Arthropologia, Mr le président du Rhône !
    Cette décision, qui représente un retrait total de 80 000 € de subventions, aura des conséquences concrètes sur des actions de terrain menées depuis de nombreuses années au service de l’intérêt général. Ces associations environnementales jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation du public, l’éducation à l’environnement, la préservation de la biodiversité, et le dialogue avec les collectivités territoriales. Elles sont composées de scientifiques, de naturalistes passionnés et de bénévoles investis, qui œuvrent dans un esprit de collaboration et de construction positive. A l'heure où la crise environnementale s'accélère, il est essentiel de donner à ces acteurs la possibilité d'agir concrètement sur le terrain pour préserver la biodiversité et nos conditions de vie. Signez la pétition (cochez la case "oui, tenez-moi au courant" pour recevoir nos emails et avancer ensemble sur la suite de la campagne) et interpellez monsieur Christophe Guilloteau. Merci pour votre soutien Sources : - Communiqué de presse de France Nature Environnement Rhône, LPO et Arthropologia - Article du Monde, 15 avril 2025
    372 sur 400 Signatures
    Créée par Fabrice B.
  • Non au projet photovoltaïque au sol au sein du hameau Tout Vent à Maurens !
    - Un projet qui est né en janvier 2024, sur une prairie de 13 730 m² appartenant à un particulier ne résidant pas sur la commune. Cette dernière est classée ZAEnR (zone d’accélération des énergies renouvelables) en octobre 2024, sans concertation préalable des riverains. - Un projet qui échappe à nombre de procédures depuis la loi n°2023-175 du 10 mars 2023 : en raison de la taille et de la puissance de la future centrale photovoltaïque (964 kWc par an), aucune demande de permis de construire n'est nécessaire. Aucune étude environnementale ne sera par ailleurs effectuée, une demande de dérogation au cas par cas ayant déjà été formulée et acceptée. Alors même que le site se situe à proximité des bois et d'un ruisseau, en contrebas. - Une altération irréversible de notre paysage : l'installation de panneaux photovoltaïques au sol va venir sacrifier notre environnement, modifiant profondément l'identité visuelle de notre lieu-dit et dénaturant le cadre paisible et harmonieux qui prévaut jusqu'à maintenant. - Une menace pour la biodiversité locale : ce projet va perturber les écosystèmes naturels environnants, mettant en danger la faune et la flore locales qui contribuent à l'équilibre écologique. - Un projet lourd de conséquences pour les riverains :    * nuisances visuelles : dégradation significative du paysage local, reflet éblouissant du soleil sur les panneaux    * nuisances sonores : bruit permanent émis par les transformateurs électriques, onduleurs, ventilateurs, certaines maisons et jardins environnants étant situés à quelques mètres seulement des futures infrastructures    * hausse des températures ressenties à proximité   * risque d’incendie accru au sein d’une zone boisée et habitée   * routes locales non adaptées aux travaux envisagés.  - Un bénéfice dérisoire pour la commune : ce projet rapporterait à la commune moins de 700€ de loyer par an... Cette somme est bien négligeable au regard des enjeux économiques, écologiques et patrimoniaux pour notre communauté. - Ne laissons pas cet héritage à nos enfants : en autorisant ce type de projet, nous risquons de léguer à nos générations futures un territoire appauvri, dénaturé, dépourvu de richesses naturelles et culturelles. - Des alternatives existent : il est parfaitement possible de développer les énergies renouvelables tout en préservant notre environnement naturel, en favorisant les installations sur des terrains incultes, dégradés ou artificialisés, sur des friches industrielles, les toitures de bâtiments (publics ou privés), les parkings de supermarchés ou d'autres espaces adaptés.   Nous ne pouvons pas permettre que ce projet avance sans exprimer notre opposition collective.  Votre voix compte, ensemble nous pouvons protéger notre environnement, nos villages, nos espaces naturels, sa biodiversité.  Et c’est maintenant qu’il faut montrer notre détermination. Ce que nous ferons pour Tout Vent aujourd’hui évitera peut-être une prolifération de ce type de projet en contradiction complète avec l’esprit et les valeurs prônés par les énergies renouvelables.  
    187 sur 200 Signatures
    Créée par FABIENNE M.
  • Un désastre écologique dans les Alpes
     Dans un contexte de crise climatique mondiale, alors que chaque euro et chaque décision publique doivent s’inscrire dans une logique de sobriété écologique, le chantier de la ligne ferroviaire Lyon – Saint-Jean-de-Maurienne du projet Lyon-Turin illustre tragiquement l’exact opposé. Ce projet, dont la légitimité repose sur des hypothèses vieilles de 35 ans, cumule aujourd’hui surcoûts, retards abyssaux, et surtout, des effets environnementaux désastreux qui en font une aberration climatique et écologique.  1. Une atteinte irréversible aux écosystèmes alpins  La construction des 190 km de tunnels nécessaires à ce projet, notamment sous les massifs de Belledonne et de Chartreuse, va entraîner :  • La destruction massive de terres agricoles : ces zones, déjà rares dans les vallées alpines, seront bétonnées à jamais, menaçant la souveraineté alimentaire locale. • La fragmentation et la disparition d’habitats naturels : l’écosystème alpin, riche mais fragile, sera irrémédiablement perturbé par les travaux, les pollutions sonores, lumineuses et les poussières générées. • L’assèchement ou la pollution de nombreuses sources d’eau : les chantiers ont déjà montré leur capacité à altérer durablement les nappes phréatiques, au risque d’impacter la biodiversité aquatique et l’usage humain. • L'émission massive de gaz à effet de serre : le creusement des tunnels générera à lui seul plus de 10 millions de tonnes de CO₂, une empreinte carbone impossible à compenser avant 2067 voire 2092 selon les estimations officielles – et ce, dans le meilleur des cas. 2. Un projet dépassé par les réalités technologiques et climatiques Les arguments avancés dans les années 1990 pour justifier cette nouvelle infrastructure sont aujourd’hui caducs :   • Le fret routier est en pleine mutation : les camions électriques et hydrogènes, imposés par les normes européennes de 2024, représenteront la majorité du trafic dès 2040. L'avantage écologique du rail s’amenuise fortement dans ce contexte. • Les prévisions de trafic étaient fausses : contrairement aux projections alarmistes de saturation, le trafic fret transalpin est resté quasi stable depuis 30 ans. La voie historique du Fréjus, modernisable à moindre coût, reste sous-utilisée. Construire aujourd’hui une ligne aussi coûteuse pour une promesse climatique dans… 60 ans, c’est tout simplement irresponsable.   3. Une dépense publique ruineuse et injustifiée Le coût de la seule portion française Lyon–St Jean-de-Maurienne est désormais estimé à plus de 15 milliards d’euros, soit trois fois les estimations initiales. Cet investissement :   • Ne profite pas aux usagers du quotidien, notamment les 2 millions d’habitants de la région Rhône-Alpes qui subissent encore des voies ferrées vétustes, lentes, à voie unique (entre Lyon, Chambéry, Annecy, Grenoble). • Ignore les recommandations des institutions : la Cour des Comptes européenne, le Comité d’Orientation des Infrastructures (COI) ou encore la jurisprudence récente sur les projets A69 et A680 pointent tous les failles écologiques, juridiques et économiques du projet. • Viole les principes fondamentaux de la Déclaration d’Utilité Publique, désormais obsolète (2013) et juridiquement fragile au regard des atteintes à la biodiversité. 4. Une alternative rationnelle existe Plutôt que creuser des tunnels pour un projet livré en 2045 (ou 2050 ?), des solutions de bon sens sont proposées :   • Moderniser l’axe Dijon – Ambérieux – Modane, déjà fonctionnel. • Doubler les voies existantes sur les tronçons clés (Lyon–Chambéry, Aix–Annecy). • Investir dans des infrastructures TER fiables pour les trajets du quotidien. • Réduire massivement les émissions dès 2030, sans attendre 2092. Avec 12 milliards d’euros d’économie à la clé, ces solutions permettent un impact écologique positif immédiat, tout en répondant réellement aux besoins des habitants. Conclusion Le projet Lyon–Turin, dans sa portion française, n’est pas un projet d’avenir. C’est un héritage du passé, une vision centralisée et productiviste des grands travaux, déconnectée des urgences climatiques contemporaines. À l’heure où chaque euro public doit être un levier vers un monde soutenable, continuer ce chantier revient à investir dans un désastre écologique dont nous ne pourrons ni racheter le coût environnemental, ni effacer les cicatrices laissées dans nos montagnes. 
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    Créée par philippe S.
  • Non au projet de doublement de l'incinérateur de Nantes de la Prairie de Mauves
    INCINÉRATEUR XXL À NANTES   🔴 Des centaines de camions supplémentaires, avec la surpopulation touristique l’été de la côte vendéenne et la presqu’île Guérandaise 🔴 Un danger pour notre santé et celle de nos enfants : particules fines, métaux lourds, dioxines, PFAS… 🔴 Un risque pour la biodiversité et le futur « éco-quartier » de 2700 logements de Doulon-Gohards  🔴 Un projet imposé, un débat biaisé, sans réelle concertation Vers un fiasco financier et écologique porté par les élus Nantais ? ❌ Le système Tri’Sac fierté nantaise depuis 2013 (en cours de démantèlement) a coûté plusieurs dizaine de millions d’€, sans jamais avoir fonctionné correctement. ❌ Une aberration écologique défendue par ceux-là mêmes qui se disent écologistes et qui ont laissé les ressourceries existantes fermer. ❌ Un projet annoncé à 270 Millions en 2022 , 310 Millions avec les coûts annexes, combien demain ? Des Alternatives Existent : ► Le développement du tri des déchets à la source doit être une priorité. ► Plus de ressourceries, c’est moins de déchets ► La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine 📢 REJOIGNEZ-NOUS, FAITES ENTENDRE VOTRE VOIX Une réunion publique est prévue début juillet 2025, et l'enquête publique en fin d'année 2025. Il est urgent de se mobiliser ! Nous demandons : - L’abandon du projet de doublement de l’incinérateur de la Prairie de Mauves - La prolongation de la durée de vie de l’incinérateur actuel pour une dizaine d’années (scenario 1 du dossier de la concertation préalable) : elle permet de temporiser et de mettre à profit ce temps pour :  • ne pas lancer un projet surdimensionné (tout axé sur l’incinération) et engager l’avenir pour 40 ans ; • mettre en œuvre une politique audacieuse de réduction des déchets à incinérer : tri des déchets à la source, ressourceries. L’argent public doit y être orienté plutôt que de privilégier l’incinération ; • évaluer la baisse du volume des déchets : tri des biodéchets, abandon du système Tri’Sac,… ; • attendre les conclusions du point d’étape du PRPGD (Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets) ; • connaître les conclusions des études sur les PFAS (polluants éternels) générés par l’incinération. - Une politique locale des traitements des déchets de la part de tous les acteurs du projet : la construction d’incinérateurs plus petits, mieux maîtrisables, moins dangereux au plus près des lieux de production. La centrale de Cordemais (près de Nantes) pourrait accueillir une unité de valorisation énergétique hors zone urbaine.
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    Créée par Pascal P.